My witness is the empty sky ▽ Trevor

nom Հ Simmons prénom Հ Trevor date et lieu de naissance Հ 13 sept. 1991 âge Հ 25 années origine Հ Américainstatut civil Հ CélibataireEtude/métier Հ Barman à son bar Byron Bay △ Passioné par les arts du dessin et de la littérature. Pense à écrire son premier roman. (a) situation financière Հ Pas riche, mais peut se payer une bière tous les jours (a) orientation sexuelle Հ écrire ici. groupe Հ La famille LA FAMILLE SIMMONS/WEAVER avatar Հ Francisco Lachowski


caractère Հ Je saurais pas quoi dire sur moi-même, vraiment. Je pense que je suis la personn ela plus cynique que t'auras la chance de rencontrer durant ta longue vie. Cynique, un peu désabusé par tout. J'ose parfois porter le blâme de mon idifférence au père militaire qui nous aura élevé. Droit, froid, remplissant le maudit mandat de tuer des gens, de servir dans une institution contrôllée, corrompue. Tout ce qu'il représente m'a donné envie de m'échapper. Le décès de ma mère, l'incapicité à garder un lien serré avec le paternel, le besoin de se détacher, de s'affirmer, de vivre. Tout ça m'a changé, m'a formé. J'ai besoin de vivre. J'ai besoin de fuir. Écrire, dessiner, fumer, consommer, être avec gens destinés à courir sur le dos de le frénitude et de la liberté. J'approche difficilement les gens, mais je vis passionnément mes émotions. Je ne crois pas aux plaisirs quelconques de la stabilité, de la régularité. Impulsif, naïf, artiste jusqu'au fond de la moelle. Dépendant des joies éphèmères et vicieuses, je consomme, c'est vrai. Je prends de la drogue souvent, je bois, j'écris, sous la lune, sous le soleil. J'admire la solitude, j'aime les gens passionnés et différents, mais je me méfie beaucoup des inconnus. Je suis un peu comme le chacal qui reste au loin, attendant que le premier d'entre nous ne lève la patte, prêt à attaquer. Il faut un peu de temps pour m'apprivoiser. Solitaire, cynique, sarcastique, impulsif, sensible, fidèle en amitié, instable, je suis un mélange toxique et addifctif, I think. On adore détester ou se haïs d'être incapable de s'en passer. Welcome aboard!


habitudes/manies Հ Fumer. T'auras besoin d'avoir de sacré poumons à mes côtés. J'adore l'idée de la cigarette, de fumer, de consommer de la merde pour la relâcher dans un superbe élan de fumée. Tous nos poisons, nos indécisions deviennent volupté. Je me sens bien, je fume, j'suis drogué, je fume, je suis amoureux, je fume, tu me fais chier, je fume. J'ai jamais essayé d'arrêter. J'aime aussi la drogue, unfortunately. Je sais que mon père et mes soeurs m'en voudraient sûrement, si c'était à savoir, mais j'ai découvert ce chemin pavé durant tous mes années de pitance, celles pendant lesquelles j'étais en train de me former et j'essayais de contrer la vie familiale envahissante. J'ai adoré. L'ectasy, la coke, la salvia, tous ces trucs qui te réveillent et qui te forcent à te questionner. Le feeling de tout ressentir, d'avoir des yeux différents. Le coeur qui s'emballe quand ça kick, ces sensations ne se retrouvent que dans cet espace illégal, mais dangeureusement attirant. J'me pose pas de questions et je le vis. Sinon, je dessine autant que je peux. Sur un banc, au phare au tout près des marées, je dessine au vent et je laisse l'inspiration dessiner pour moi. Depuis que je suis jeune, l'art du dessin et des mots m'ont fasciné. Tous ses poèmes anglais, américains, les livres, les phrases, l'idée du livre. J'ai toujours désiré, à mon tour, laisser ma trace et changer, peut-être le coeur de quelques hommes et quelques femmes perdu(e)s. Je ressens le besoin de m'exprimer. M'aventurer, me perdre dans la nature, fumer, consommer, écrire, lire, dessiner, boire, me saouler, tendre le bras autour du cou de ces gens délurés, parler, être au coeur de mon bar à observer la joie et l'ivresse. Je suis un homme de mille façons.


avec quelle famille es-tu lié ? Հ La famille Simmons/Weaver

quel lien entretiens-tu avec cette dernière ? Հ Je sais pas trop par où commencer. La famille, ça toujours été un concept très ambigüe et ironiquement opposé. Elle est la perte et la solidité à la fois. Ma mère, notre mère nous aura quitté beaucoup trop tôt, trop durement pour que je ne puisse rejeter l'idée d'être uni avec ceux qui me consistent. Mon père est une figure paternelle froide que je ne tends pas à respecter. J'ignore si l'idée de le voir avec une autre femme que maman ou d'occuper un poste dont les valeurs clashent avec les miennes; j'sais pas. Mais j'ai l'impression que l'idée de la fmaille unique, reconsituée m'a toujours fait grincer des dents. Pas envie de rentrer dans la mascarade, de tout accepter, de toujours avaler. En fait, je connais pas tous mes demi-frères/soeurs parfaitement. Il y en a qui ont de beaux sourires, de beaux visages, mais qui doivent sûrement pourrir de l'intérieur. Liam, le chasseur de proie, impossible de m'y en approcher sans tourner le regard. Caleb, le grand frère dont la vie l'aura soutenue, tant mieux pour lui. Invisible, muet, effacé, comme un mirage sans nom. Kelsey est mon ange. La protégée, celle sur laquelle repose tous mes espoirs d'une femme aux plus belles qualités. Merveilleusement intelligente et sensible, j'ai l'impression d'y voir mon reflet. Je voudrais ne jamais la voir grandir. Innocente, qu'elle reste comme elle, décuplée de valeurs, d'idées, d'impulsions, d'une énergie et une joie de vivre. La soeur, l'amie, l'ange. Faith at Aiden demeure des confidents dont je ne pourrais me passer. Ils comprennent, ils m'écoutent, ils me supportent. Maman, nous la partageaons dans nos esprits chacun son tour. On glisse un mot sur elle, sur ce qu'elle nous rappelle et l'angoisse, la peur disparait. Autant ais-je besoin de briser le miroir de cette famille dispersée, élargie et si disparate, autant je ne pourrais pas effacer ses combattants avec qui j'aurais grandi, ses confidents avec qui je m'aurais délivré. Ils sont les particules essentielles à ma personne, à ma vie, formant un tout pour lequel je ne ressens toutefois pas le besoin de m'unir.